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29-10-2022
Tech
Depuis l’annonce de l’iPhone 14, la technologie eSIM fait de plus en plus parler d’elle dans le secteur de la téléphonie mobile. En effet, cette norme qui existe depuis 2016 n’est pas nouvelle, elle a toutefois du mal à s’imposer sur certains marchés et notamment sur le marché français où elle ne rencontre malheureusement pas un franc succès ; les consommateurs de l’hexagone préférant rester sur la version SIM traditionnelle qui existe depuis la naissance des téléphones portables. En effet, en 2019, l’opérateur mobile Orange a été le premier à proposer ce service à ses abonnés. Il a été suivi par les autres opérateurs mais sans grand résultat.
Aux États-Unis, par contre, la eSIM a rapidement trouvé des adeptes et s’est fait une belle place à partir de 2017 grâce à la gamme Pixel de Google et également aux iPhone, équipés pour la plupart de cette technologie depuis l’iPhone XS en 2018. La firme de Cupertino fait même plus en n’équipant ses iPhone 14 américains que d’une unique puce eSIM. Donc plus de carte SIM traditionnelle pour les américains, Apple force les utilisateurs du dernier Smartphone de la marque à passer à l’eSIM.
Mais qu’est-ce donc cette norme ? Comment fonctionne telle ? Et quelles sont ses avantages et aussi ses inconvénients pour nous en tant qu’utilisateurs ?
Qu'est-ce qu'une carte intégrée ?
Désignée par SIM embarquée ou SIM intégrée, la eSIM est une puce implantée directement et en permanence dans un Smartphone, une carte mère ou une montre connectée lors de la fabrication.
Tout comme une puce téléphonique traditionnelle, la eSIM se compose aussi d’un certain nombre de composants, qui font partie des organes internes de votre téléphone. Elles fonctionnent de la même manière, agissant comme un identifiant unique permettant aux opérateurs de télécommunications et aux autres utilisateurs de communiquer avec vous par des appels ou des SMS. Ainsi en étant rattachée à la carte mère, la SIM intégrée donne la possibilité d’être reprogrammée et donc de changer d'opérateur sans avoir à être remplacée par une autre. Finis dont les multiples puces amovibles pour chaque opérateur téléphonique, désormais l’eSIM fait partie du process de fabrication du mobile et est donc unique pour chaque mobile.
Pour l’activer, il suffit de faire une demande à votre opérateur. Celui-ci vous enverra un QR Code que vous allez simplement scanner pour télécharger vos informations. Un nouvel outil simple et rapide à exécuter mais qui n’arrive toujours pas à détrôner la puce physique traditionnelle. En effet, outre ses avantages, la eSIM présente également quelques petits inconvénients.
Des avantages indéniables
Le premier avantage d’une puce intégrée est sa commodité. Si vous êtes quelqu'un de très occuper ou de tête en l’air, qui veut gagner du temps et ne pas faire trop d’effort, le passage aux eSIM serait une belle opportunité pour vous. Cela vous évitera de vous déplacer dans d’un opérateur à l’autre lorsque vous devez voyager dans un autre pays où encore changer de services téléphoniques. La possibilité de stocker plusieurs profils SIM dans votre eSIM signifie également que vous pouvez basculer facilement entre les profils, sans avoir besoin d'activer une carte SIM à plusieurs reprises ou encore de changer physiquement de carte.
Le second avantage de passer d’une puce traditionnelle vers l’eSIM est la sécurité. En effet, si vous perdez un téléphone avec une carte SIM physique, le voleur ne pourra peut-être pas naviguer dans votre téléphone grâce au verrouillage et mots de passe mais il pourra toujours sortir votre carte SIM et l'utiliser dans un autre téléphone déverrouillé. Avec un Smartphone équipé d’une eSIM, cela n’est pas possible car il n’y aucun élément physique à retirer et à utiliser dans un autre appareil.
Avoir une puce intégrée peut aussi présenter un avantage au niveau de l’étanchéité de votre mobile. Ainsi, une ouverture de moins devrait réduire la probabilité que des éléments comme la poussière et l'eau pénètrent dans votre téléphone. Cela devrait également économiser de l'espace à l'intérieur du téléphone pour être utilisé ailleurs.
Des inconvénients qui freinent le développement de l’eSIM
Malgré des avantages indéniables, utiliser une puce intégrée a malheureusement des inconvénients qui pour certains freinent l’achat d’un Smartphone équipé de ce type de norme. Il y a tout d’abords l’impossibilité de pallier à une urgence. En effet, si votre mobile tombe et qu’il devient inutilisable, votre communication est complètement interrompue avec les eSIM. Au contraire, si vous avez une carte SIM traditionnelle, vous pourrez rapidement la retirée et l’insérée dans un autre mobile.
Autre inconvénient à adopter une telle norme, la limite de sont utilisation. Ainsi si vous allez dans un pays où les opérateurs de télécommunications ne prennent pas encore en charge l’eSIM, vous ne pourrez pas utiliser votre appareil. Par contre, si votre mobile prend en charge à la fois l'eSIM et les cartes SIM traditionnelles, le problème ne se posera pas.
Et ce n’est pas tout, sachez que si vous décidez de passer à une puce intégrée, vous n’aurez pas vraiment de choix lors de votre achat. En effet, cette norme n’est disponible actuellement que sur un nombre restreint d‘appareil et seulement sur les Smartphones haut de gamme, non accessibles à tous en termes de prix. Avec un mobile équipé d’eSIM, les opérateurs téléphoniques ont également plus de contrôle sur votre appareil car cela leur donne la possibilité de facturer des frais supplémentaires pour les plans eSIM ou lorsque vous voudrez changer de téléphone.
15/05/2022
Le Google Play Store pourrait voir le nombre d'applications disponibles chuter d'un tiers alors que le géant de la recherche se prépare à supprimer les applis obsolètes. Tout comme Apple, Google prendra des mesures pour traiter les anciennes applications et celles qui n'ont pas reçu de mises à jour depuis deux ans. Pour la firme de Montain View, cela représente 869 000 applications, alors qu'Apple en compte à peu près 650 000. Selon certaines sources, Google s'apprête à cacher ces applications, rendant impossible leur téléchargement par les utilisateurs jusqu'à ce que les développeurs les mettent à jour.
La principale raison pour laquelle les deux sociétés américaines prennent de telles mesures est de protéger la sécurité de leurs utilisateurs. Les anciennes applis ne tirent pas parti des modifications apportées sur les systèmes Android et iOS, des derniers API ou des nouvelles méthodes de développement offrant une protection renforcée et fiable. Par conséquent, les applications en question peuvent avoir des problèmes de sécurité qui n'existent pas sur les applis récentes.
Certains développeurs n'apprécient pas ce projet de suppression d'applications qui n'ont pas été mises à jour dans le Google Play Store depuis deux ans. Certains estiment que les actions d'Apple et de Google ne sont pas justes. Aucune des deux sociétés ne semble disposée à changer de cap et, malgré les inquiétudes des développeurs, c'est la bonne décision pour la sécurité des utilisateurs.
Récemment, le leader mondial de la recherche a introduit des restrictions supplémentaires pour les utilisateurs de son Play Store en Russie. Désormais, les développeurs ne pourront plus télécharger d'applications payantes ; et mises à jour pour eux dans la version russe du Google Play Store. Par contre, le téléchargement d'applis Android gratuites à partir du Play Store russe est toujours disponible. Les applications et jeux payants précédemment téléchargés par les utilisateurs continueront également à fonctionner. En mars dernier, Google a suspendu le système de paiement Play Store pour les utilisateurs russes.
Pour les applications payantes, lorsque vous essayez d'acheter ou de souscrire à un abonnement payant à l'aide du système de paiement Google, une erreur s'affiche. Le message indique que les développeurs peuvent prolonger la période de grâce pour les abonnés existants après la fin de la période donnée. De plus, à l'aide de l'API Developer, les développeurs peuvent différer les renouvellements d'abonnement payant jusqu'à un an. Si l'application fournit des " services critiques " ; il est alors conseillé aux développeurs de les rendre gratuits ou de refuser temporairement de fournir la possibilité d'émettre un abonnement payant.
Google note que la situation actuelle continue d'évoluer de jour en jour ; et d'autres modifications de la politique de l'entreprise pourraient avoir lieu à l'avenir. Google informera les utilisateurs de tous les changements à venir sur sa page d'assistance.
16/07/2022
La marque à la pomme a annoncé le lancement à l’automne prochain d’une nouvelle fonction révolutionnaire pour sécuriser ses appareils et notamment ses iPhone. Connue sous le nom "Lockdown", ou "Isolement" en français, cette solution anti-espionnage sera déployée avec iOS 16, iPadOS 16 et macOS Ventura. Elle servira à protéger les personnes à haut risque comme les défenseurs des droits de l'homme, les journalistes, les diplomates et les hommes politiques contre les attaques ciblées de logiciels espions.
En effet, une fois activé, ce mode isolement fournira au détenteur d’un appareil de la marque à la pomme une protection de la messagerie, de la navigation Web et de la connectivité. Il sera capable de bloquer tout un tas de logiciels et notamment les logiciels espions mercenaires comme Pegasus souvent utilisés par les pirates informatiques pour surveiller des appareils après les avoir infectés avec des logiciels malveillants. Ainsi, les tentatives d’attaques visant à compromettre des mobiles Apple et ciblant des applications de messagerie telles que WhatsApp et Facetime ou des navigateurs Web seront automatiquement bloquées. Toutes les fonctionnalités vulnérables telles que les aperçus de liens seront également désactivées.
Apple déclare donc que "L'activation du mode verrouillage dans iOS 16, iPadOS 16 et macOS Ventura renforce les défenses de l'appareil et limite strictement certaines fonctionnalités, réduisant considérablement la surface d'attaque qui pourrait potentiellement être exploitée par des logiciels espions mercenaires hautement ciblés".
Mais alors quelles sont les fonctionnalités de votre iPhone qui seront sécurisés avec le mode isolement ? Il y aura tout d’abords, les messages qui ne permettront plus de pièces jointes autres que les images, la navigation web qui bloquera tous les sites douteux sauf ceux autorisés par vos soins, les services Apple dont les invitations entrantes et les demandes seront bloquées et les connexions filaires avec un ordinateur ou un autre périphérique qui deviendront inaccessibles lorsque l'iPhone sera verrouillé.
Vous noterez également que les profils de configuration ne pourront pas être installés lorsque le mode de verrouillage sera activé. "Pour inviter les commentaires et la collaboration de la communauté des chercheurs en sécurité, Apple a également créé une nouvelle catégorie au sein du programme Apple Security Bounty pour récompenser les chercheurs qui trouvent des contournements du mode d’isolement et aident à améliorer ses protections". Une annonce faite par la firme de Cupertino au lendemain des poursuites lancées par le géant américain contre le fabricant de logiciels espions Pegasus NSO Group en novembre 2021 pour le ciblage et l'espionnage des utilisateurs d'Apple à l'aide de la technologie de surveillance de NSO. Apple déclare que les attaques parrainées par l'État utilisant le logiciel espion de NSO ne visaient qu'un "très petit nombre" d'individus, sur plusieurs plates-formes, y compris Android et iOS.
Son responsable de l'ingénierie et de l'architecture de sécurité ajoute alors que "Le mode verrouillage est une capacité révolutionnaire qui reflète notre engagement inébranlable à protéger les utilisateurs contre les attaques les plus rares et les plus sophistiquées", "Alors que la grande majorité des utilisateurs ne seront jamais victimes de cyberattaques très ciblées, nous travaillerons sans relâche pour protéger le petit nombre d'utilisateurs qui le sont."
24/05/2022
Comme à chaque automne, Apple lance, en octobre 2020, quatre modèles d’iPhone 12. Le Classique, le Pro, le Pro Max et le plus petit de tous le Mini, pour les nostalgiques des Smartphones compacts. Cette série de mobiles, haut de gamme, de la marque à la pomme vendus respectivement, à leur sortie, à partir de 909 Euros, de 1159 Euros, de 1259 Euros et de 809 Euros, apportent de grandes innovations par rapport aux iPhone 11 qui les ont précédés. Ils proposent notamment un design aux bords carrés comme ceux qui se faisaient avant l’iPhone 6 avec en plus un écran bordeless, un processeur 50% plus rapide et compatible avec le réseau 5G, des appareils photo plus performants et une technologie Oled pour toutes les versions de l’iPhone 12. Fini donc les écrans LCD, l’Amoled se généralise et devient une norme pour les mobiles de la firme de Cupertino.
Et pourtant, Apple avait bien du mal en cette année 2020, marquée par la pandémie de Covid-19. Les pénuries des pièces dédiées à la gestion énergétique et à l'utilisation du LiDAR se faisaient de plus en plus courantes et les prix des composants ont grimpé de 15 à 30%. Mais heureusement, la demande d’iPhone 12 n’en a pas trop souffert. Il faut avouer que les 4 versions de la série sont plutôt pas mal, un peu chers mais avec des fiches techniques bien à la hauteur de nos attentes d’il y a 2 ans mais aussi actuelles. Voyons voir tout cela de plus prêt.
Comme nous l’avons précisé plus haut, l’un des changements majeurs que le géant américain a fait sur la série iPhone 12, réside dans ce retour dans le passé en termes de design. Il abandonne ainsi les bords arrondis que l’on a découvert pour la première fois avec l’iPhone 6 pour des bords carrés. Sur l’iPhone 12 de base, on retrouve un écran d’une diagonale de 6,1 pouces avec une encoche pour la reconnaissance faciale, le tout protégé par un verre Ceramic Shield. Le châssis est en aluminium et ses dimensions sont plutôt petites avec 146.7 x 71.5 x 7.4 mm pour un poids de 164 grammes. Mais si vous voulez plus compact, avec une taille réduite de 131.5 x 64.2 x 7.4 mm et un poids super léger de 135 grammes, Apple propose le 12 Mini. Il copie le design de la version classique avec cependant une dalle bien plus petite d’une diagonale de 5,4 pouces.
Passons à présent aux versions Pro, aussi beaux et bien finis mais plus grands que les iPhone 12 classique et Mini. Ils proposent, à l’avant, toujours le même design et la même protection mais avec un cadre en acier trempé brillant un peu teinté et à l’arrière une coque dépolie mate. Les écrans sont de 6,1 pouces pour l’iPhone Pro et de 6,7 pouces pour l’iPhone 12 Pro Max.
Sur les côtés les 4 versions de la série embarquent quasiment la même chose à savoir les traditionnels boutons Power, ceux du contrôle du volume et du mode silencieux, un emplacement pour carte SIM, un haut-parleur, des micros et un port Lightning. Ils sont également tous compatibles avec la norme IP68.
Pour les écrans de ses iPhone 12, 12 Pro, 12 Pro Max et Mini, Apple a choisi la même technologie Amoled. Il a, ainsi, mis de côté ses dalles LCD même pour les moins Premiums des quatre, pour notre plus grand bonheur. Nous retrouvons donc une définition de 2778 x 1284 px sur l’iPhone 12 Pro Max pour un écran de 6,7 pouces et une résolution de 458 ppp, de 2530 x 1170 pixels sur les iPhone 12 et 12 Pro et de 2340 x 1080 pixels sur l'iPhone 12 Mini avec une résolution de 478 ppp. Ces 4 écrans sont tous compatibles HDR et proposent l'affichage True Tone, pour un grand respect des couleurs. Mais toujours pas de taux de rafraichissement à 120 Hz comme c’est le cas chez certains concurrents de la marque à la pomme, on devra se contenter de 60 Hz.
Côté luminosité, comme vous vous en douté, les 4 Smartphones sont très bons avec une luminosité maximale et une minimale plus que suffisantes pour une très bonne lecture de jour comme de nuit. Nous retrouvons 635 cd/m² et 0,1 cd/m² dans l’iPhone 12 classique, 831 cd/m² et 0,1 cd/m² dans l’iPhone 12 Pro, 844 cd/m² et 0,1 cd/m² pour le Pro Max et enfin 645 cd/m² et 0,1 cd/m² pour le Mini. Pour la colorimétrie, même constat, nos mobiles à la pomme proposent des couleurs belles et fidèles avec un Delta E ne dépassant pas les 1,5 et une température de couleurs tournant autour de la norme vidéo de 6500 K avec une valeur idéale de 6582 K pour le Mini.
En équipement photographique, la firme de Cupertino a opté pour deux types d’appareils. Les iPhone 12 classique et Mini embarquent un îlot de deux capteurs de 12 Mpx : un grand-angle ouvrant à f/1,6 et un ultra grand angle ouvrant à f/2,4. Les iPhone 12 Pro et Pro Max, quant à eux, proposent des blocs photographiques de 3 capteurs de 12 Mpx: un grand-angle avec une ouverture à f/1,6, un ultra grand angle ouvrant à f/2,0 et un téléobjectif ouvrant à f/2,6. Le tout accompagné d’un capteur LiDAR pour un meilleur autofocus et un mode nuit plus performant. Seules différences entre les deux modèles Pro, un capteur grand-angle avec des photosites plus grands et un téléobjectif avec un zoom à 2,5 pour le Pro Max.
À l'avant, sur les 4 versions, l'encoche loge une caméra TrueDepth pour Face ID. Le module frontal de 12 Mpx ouvrant à f/2,2 propose de bons clichés, lumineux et détaillés. Le mode portrait reste très efficace, avec un bon découpage des sujets. Pour la vidéo, l'enregistrement avec le module frontal est possible jusqu'en 4K à 24, 30 ou 60 i/s. Le mode HDR Dolby Vision est également présent en 30 i/s. Pour le module principal, ce sera des enregistrements jusqu'en 4K à 24, 30 ou 60 i/s et également un mode Dolby Vision offrant des vidéos HDR à raison de 30 images par seconde. Une stabilisation optique est présente sur le module grand-angle sauf pour l’iPhone 12 Pro Max où c’est le capteur qui est directement stabilisé et non l’objectif.
Les iPhone 12 embarquent tous, le même processeur, made in Apple, l’A14 Bionic gravé en 5 nm. Grace à sa puissance et à son optimisation logicielle, il est parfait pour les taches du quotidien mais aussi pour les jeux 3D les plus gourmands. Son avantage par rapport à l’iPhone 11 est sa compatibilité au réseau 5G. Les iPhone 12 de base, Mini, Pro et Pro Max proposent aussi plusieurs capacités de mémoire : 64 Go, 128 Go, 256 Go ou 512 Go, selon les modèles.
Côté capacité et endurance des batteries, l’iPhone 12 et l’iPhone 12 Pro embarquent des piles de 2815 mAh pour environ deux jours d’autonomie en usage classique et modéré. La version Mini, une batterie de 2227 mAh, la plus petite des quatre pour un usage en conditions réelles d’une journée voir moins pour une utilisation intensive. Et le 12 Pro Max, un accumulateur de 3969 mAh qui lui permet de tenir la charge toute une journée, voire une journée et demie.
Pour la recharge, tous les combinés de la gamme disposent de la charge rapide à 20 Watts mais pour avoir un bloc de charge, il faudra faire une dépense supplémentaire. En effet, le chargeur iPhone 12 n’est pas disponible dans la boite.
